Entre les deux, son coeur balance...
Georgina, 26 ans, est sur le point d'épouser son petit ami.
Le quotidien de cette prof de piano est réglé comme du papier à musique. Pourtant, quand elle découvre le groupe de pop lesbien Phase, c'est une révélation.
Georgina se rend compte qu'elle a envie de jouer sa propre musique, qu'elle voudrait devenir comme les filles du groupe, et que leur batteuse fait battre son coeur un peu plus fort.
Craignant de renoncer à sa petite vie tranquille, la jeune femme décide de jouer sur les deux tableaux : elle sera Gina le jour, George la nuit.
Cette double vie nécessite une organisation minutieuse, une garde-robe polyvalente et une coupe de cheveux ambiguë...
Une comédie romantique drôle et rafraîchissante sur une jeune femme qui découvre sa bisexualité.
Juillet 1674, Limbricht.
De la fenêtre étriquée du donjon où elle a été enfermée par le seigneur de Limbricht, Entgen Luijten regarde passer les jours, elle qui n'a toujours connu que la vie au grand air, dictée par le rythme immuable des saisons et de la nature.
Parce qu'elle a toujours préféré prier au milieu des vieux chênes qu'à l'église, parce qu'elle connaît le pouvoir des plantes qui soignent, parce qu'elle est un peu trop libre et sauvage pour son village puritain et reculé de la campagne néerlandaise et, surtout, parce qu'elle a osé mener la révolte contre de nouvelles taxes imposées par le château, elle est accusée de sorcellerie.
Déterminé à obtenir des aveux spectaculaires, le duc organise un procès d'exception aux heures les plus sombres de l'Inquisition. Mais Entgen n'a plus rien à perdre, alors pourquoi ne pas résister, comme personne ne l'a jamais fait avant elle ?
Susan Smit est une écrivaine et journaliste néerlandaise. Passionnée par l'histoire de la sorcellerie, elle a fait de nombreuses recherches sur ce qu'elle appréhende aujourd'hui comme une pratique spirituelle et une ancienne religion de la nature. La Sorcière de Limbricht est son premier roman traduit en français.
Disaster Falls : le nom d'un lieu perdu - des rapides sur la Green River entre l'Utah et le Colorado. Mais le nom, aussi, d'un événement tragique.
À l'été 2008, lors d'un voyage organisé, le kayak dans lequel Stéphane Gerson naviguait avec son fils Owen chavira dans ces eaux froides. Après trois heures de recherches, on retira de l'eau le corps d'Owen. Il avait huit ans.
Au croisement du récit, de la chronique et de l'enquête, Disaster Falls entretisse les émotions du père, l'analyse de l'historien et la quête de sens. L'histoire hante le livre, que ce soit celle de ces rapides depuis leur découverte en 1869 ; celle de l'expérience du deuil parental (Shakespeare, Mallarmé, Hugo...) ou celle de catastrophes collectives qui, de la Shoah au 11-Septembre 2001, interfèrent également dans ce désastre familial.
Les derniers chapitres de Disaster Falls s'ouvrent à une autre vision de la mort. Deux ans après l'accident, le père de Stéphane Gerson, atteint d'un cancer inopérable, opte pour l'euthanasie en Belgique. Après avoir perdu un fils, l'auteur accompagne maintenant les derniers jours de son père. Autre filiation, autre mort - une mort acceptée, apaisée, faite sienne. « J'étais un vivant entre deux disparus. »
Entre leurs publications musicales et tournées à succès, ils ont cultivé une amitié sincère, complice et volubile.Une correspondance en est née, elle sortira le 19 octobre 2022, sous le titre Les correspondants, préfacé par Gaël Faye
Josie Morgan appréhende toujours le mois de décembre. C'est toujours un rappel de la vie qu'elle a perdue, vingt ans plus tôt.
Elle éteint toujours la radio quand celle-ci diffuse des airs de Noël. Elle a toujours envie d'arracher la guirlande que sa colocataire persiste à accrocher. Et elle poste toujours une lettre qui ne sera jamais lue.
Max Carter ne s'était jamais attendu à se retrouver coincé à Londres à quelques jours de Noël. Il ne s'était jamais attendu à ce que ce soit si dur de quitter une femme qu'il connaît à peine. Cela dit, il ne s'était jamais attendu à tomber amoureux.
Mais, lors de ce mois de décembre, quand la lettre de Josie l'amène à croiser les pas de Max, cette rencontre accidentelle va changer leurs vies d'une façon incroyable. Et leur histoire ne fait que commencer...
Ce roman inédit constitue une aventure à part entière dans l'univers de A Plague Tale.
Situé chronologiquement entre les événements de A Plague Tale : Innocence et A Plague Tale : Requiem, le roman A Plague Tale : Tenebris narre les mésaventures d'Amicia et Hugo, ainsi que de leur mère Béatrice et de leur ami Lucas, confrontés à de nouveaux antagonistes.
1348. Quelques jours après le combat qui les a opposés au Grand Inquisiteur Vitalis, Amicia et Hugo apprennent qu'ils sont recherchés et prennent la direction de l'Est, loin des troupes anglaises affaiblies et d'une Inquisition revancharde.
Secrètement à leurs trousses, des Flagellants menés par un zélote bien décidé à faire de Hugo le martyre christique qui accompagnera leurs processions en « éclaboussant du sang sacré de ses plaies l'Humanité pécheresse ».
Très vite, la routine itinérante du groupe est troublée par le réveil de la Macula qui afflige Hugo de céphalées et de cauchemars terribles. Béatrice et Lucas sont catégoriques : les cauchemars d'Hugo, exaltés par la Macula, commencent à altérer le réel autour de lui (émotions contagieuses, confusion des sens, hallucinations, rats paniqués qui échappent à l'appel du garçonnet).
Les jours passent, et les symptômes d'Hugo s'intensifient, mettant en péril à la fois sa santé mentale et la vie de ses compagnons.
Un roman haletant, développé en étroite collaboration avec le studio Asobo, où vous aurez plaisir à retrouver les personnages avant de les incarner à nouveau dans A Plague Tale : Requiem.
« Bienvenue au Refuge du Perce-neige ! Venez découvrir la magie de notre bergerie, en plein coeur du massif du Mont-Blanc. »
Liia Josserand et son père sont très fiers de ce refuge où les rennes évoluent en totale liberté.
Les fins de mois sont difficiles, mais pour rien au monde ils n'abandonneraient leurs animaux, et encore moins sous la pression d'un chef étoilé que personne n'a jamais vu, qui voudrait les acheter pour leur viande. Qu'il aille voir ailleurs s'ils y sont, leurs animaux ne se mangent pas !
Mais à quelques semaines de Noël, le temps presse, et le cuisinier n'a pas dit son dernier mot. Il n'hésitera pas à s'infiltrer incognito au refuge pour en savoir plus et, qui sait, parvenir à convaincre cette étrange famille de lui vendre à bon prix un ou deux caribous.
La guerre semble bel et bien déclarée, mais l'arrivée inattendue du célèbre Nicolas Claus pourrait bien changer la donne entre ces deux-là...
Figure incontournable de la scène littéraire francophone, Sophie Jomain a écrit plus de vingt romans allant de la littérature fantastique à la comédie en passant par le roman contemporain. Après Les étoiles brillent plus fort en hiver, elle nous offre une nouvelle comédie de Noël originale et ensoleillée.
Une brillante avocate s'apprête à plaider. Elle sait ce qu'elle a à faire, à dire, pour convaincre les jurés et la Cour. Sa voix ne tremble pas, elle sait jouer avec les mots et les silences. Elle est à sa place.
Une patiente est allongée sur un lit d'hôpital. Multiples fractures, côtes fêlées, coupures sur le cuir chevelu. Sous morphine, elle est incapable de se rappeler ce qui lui est arrivé. Son mari prétend qu'elle est tombée sur une table basse.
Ces deux portraits sont celui d'une même femme, Cécilia.
Prise dans la spirale infernale de la violence conjugale, oscillant entre déni, peur et détresse, elle cherche malgré tout à se sortir de l'emprise psychologique qu'exerce sur elle son mari.
Et c'est peut-être l'inconnue croisée dans un café, qui l'écoute alors que la police ne l'a pas fait, ou le nouveau client qu'elle doit défendre, qui l'y aideront.
Après des études d'Histoire de l'Art à Paris, Yolaine Destremau a d'abord exercé le métier d'artiste peintre pendant une dizaine d'années et a exposé à maintes reprises à Paris et en province. Parallèlement, elle a été lectrice dans plusieurs maisons d'édition et traductrice d'anglais. Aujourd'hui elle se consacre à l'écriture, et vit entre la France et l'Italie. Elle a déjà publié huit romans, pour certains déjà traduits en espagnol, néerlandais ou italien.
Lily Armitage espérait ne jamais devoir retourner à Endgame, le domaine familial où sa mère est décédée vingt et un ans plus tôt.
Mais lorsque sa tante l'invite au traditionnel jeu de piste de Noël, la curiosité est plus forte qu'elle. Car cette année, l'enjeu est de taille : non seulement le gagnant héritera du domaine, mais les indices révéleront enfin la vérité sur la mort de sa mère.
Alors que le réveillon de Noël approche, la tension monte entre les cousins. Tous ont leurs raisons de vouloir gagner, et certains n'ont pas l'intention de jouer franc-jeu. Et quand une tempête de neige les force à rester confinés dans le manoir, les retrouvailles familiales prennent une tournure funeste...
Bien décidée à connaître le fin mot de l'histoire, Lily comprend vite que le domaine renferme de sombres secrets, et qu'elle risque sa vie dans ce jeu dangereux...
Écrivaine britannique, Alexandra Benedict a déjà publié plusieurs romans sous le nom de A.K. Benedict, dont le premier, The Beauty of Murder, est en cours d'adaptation télévisuelle. Romans, nouvelles, scénarios, poèmes..., elle aime s'essayer à différents genres littéraires. Petits meurtres à Endgame est son premier ouvrage traduit en France. Avant de se consacrer à l'écriture, Alexandra a eu une première carrière d'autrice-compositrice-interprète, en groupe et en solo, et a composé plusieurs bandes originales de séries et de films. Aujourd'hui, elle chante dans le groupe The Slice Girls, avec d'autres écrivaines de thrillers.
Voici un (magnifique) recueil de listes écrit par des passionnés de listes et de football, pour celles et ceux qui vivent le foot au quotidien, pour le meilleur et pour le pire, et pour celles et ceux qui le subissent aussi... !
Ce livre, c'est retrouver les moments clefs qui font de toi un supporter du ballon rond, les moments de partage, de joies incontrôlables, les signes qui prouvent que le foot a pris une très (trop) grosse importance dans ta vie.
C'est comprendre aussi la sensation de légèreté après une victoire attendue, repenser avec nostalgie au souvenir d'un grand match où on était présent dans le stade, être impatient de reprendre là on avait laissé la discussion animée entre potes pour savoir qui de Platini ou Zidane devrait finir n° 1 (tout en sachant que c'est Zidane)...
Mais pas que.
C'est aussi souffrir, regretter cette invitation à un mariage un soir de grand match, rager devant une défaite de plus, subir les foudres d'un pote supporter d'un club qui gagne, avoir un enfant qui n'aime pas le foot...
À travers ce livre, retrouvez 50 plaisirs et 50 emmerdes, sous forme de listes pour ne jamais oublier le kiffe d'être supporter de foot.
Laurent Moreau est un spécialiste autoproclamé de la petite enfance. Il distille ses conseils dans le monde entier, au Japon notamment. Ou du moins ne devrait pas tarder à le faire. Il est aussi et surtout le père de 5 500 listes environ et l'un des fondateurs de Topito.com, un site incontournable du Web français. Il trie, liste et classe tous les sujets qui lui passent par la tête depuis six ans. Oui c'est ça, comme un parfait psychopathe.
On ne devient jamais adulte. Mais, au contact des adolescents, à travers leur immaturité, leur fantaisie et leur pouvoir de contestation, il est possible de se construire et d'ouvrir les yeux sur une société qui nous enferme dans des rôles.
Gilles Sebhan raconte sa vie de professeur depuis la marge, avec un mélange de stupeur et d'affection. Il en fait le récit comme d'une aventure expérimentale qui n'est pas de tout repos mais qui peut nous permettre d'accéder aux énigmes du monde contemporain, plein du bruit des réseaux sociaux et de la fureur des apprentis djihadistes.
Et si le livre est dédié aux jeunes cancres sans sommeil, c'est sans doute qu'ils détiennent sans le savoir une vérité sur les enfants que nous étions et les adultes que nous croyons être devenus.
Agrégé de lettres, romancier et essayiste, Gilles Sebhan a publié plusieurs récits autobiographiques, dont La Dette (Gallimard, 2006), et des essais sur Tony Duvert et Jean Genet. Il est également l'auteur d'un livre de référence sur l'artiste Stéphane Mandelbaum.
Philadelphie, 1906.
Alma Mitchell est brutalement rappelée à son enfance par un article de journal : un agent fédéral a été assassiné et le suspect est un ami d'enfance de la jeune femme, Harry Muskrat. Harry - ou Asku, ainsi qu'Alma l'a toujours appelé - était l'élève le plus prometteur de l'école dirigée par le père d'Alma, la Stover School, créée à la suite des guerres indiennes, et qui avait pour vocation d'aider à l'assimilation des enfants indiens des réserves voisins (« d'apprivoiser les sauvages », en somme). Alma y était la seule élève blanche.
Mais sans aucune bienveillance, les enfants étaient privés de toutes leurs racines : leur langue, leurs us et coutumes, et même leur nom, laissant ainsi leur héritage sur le bord de la route.
Le brillant et courageux petit garçon qu'Alma avait bien connu ne peut pas avoir tué quelqu'un de sang-froid. Mais elle reconnaît difficilement celui qu'Asku est devenu, un homme froid et aigri d'être un paria dans un monde blanc et un fantôme dans le sien. Le mari d'Alma, Stewart, est avocat. À la demande de sa femme, il accepte de défendre Asku.
Mais pour ce faire, Alma va devoir replonger dans de douloureux secrets. Des secrets qu'elle avait cachés à tout le monde, notamment à Stewart...
"Une histoire déchirante sur l'héritage destructeur de l'assimilation forcée des enfants autochtones américains. Les lecteurs de fiction historique trouveront beaucoup à réfléchir ici." - Library Journal
"Carson McCullers et moi" est l'histoire d'une rencontre. Jenn Shapland, l'autrice, rencontre McCullers en lisant la correspondance que cette dernière entretenait avec Annemarie Schwarzenbach. Elle est saisie.
Un sentiment amoureux émerge de ces lettres. Pourtant, les nombreuses biographies qui lui sont consacrées restent évasives sur l'affection que McCullers nourrissait pour les femmes. Poussée par un sentiment d'urgence, Jenn Shapland décide de partir sur les traces de McCullers pour comprendre.
Elle se plonge dans sa vie, son oeuvre, se rend dans sa maison d'enfance, dans sa résidence artistique, étudie sa garde-robe et parcourt les transcriptions de sa thérapie.
Pendant cette longue enquête et en s'appuyant sur son expérience, Shapland interroge l'identité et l'amour en redonnant toute sa place au processus créatif des femmes.
Dans ce récit littéraire, elle réussit à partager ce que la rencontre avec l'autre, imaginaire ou pas, peut changer dans une vie. La rencontre autorise à se percevoir hors des modèles établis.
"Carson McCullers et moi" a été finaliste des National Book Awards 2020, et nommé au Andrew Carnegie Medals au titre de l'excellence en non fiction ; il a également remporté le Lambda Literary Award et le Publishing Triangle's Judy Grahn Award.
« Cherchons la vérité, à défaut de faire régner la moindre justice. »
Décembre 2010, Athènes, sur fond de manifestations anti-austérité.
Agent Evangelos, bientôt à la retraite, est devant son bar préféré, le Batman. À la maternité, sa fille Andromède accouche.
Mais le policier est appelé pour une tête retrouvée sans corps. Il se rend au bord du fleuve Evros, à la frontière gréco-turque, en pleine zone militaire interdite.
L'affaire est délicate : la Grèce doit construire un mur de barbelés pour empêcher le passage des migrants, et elle a besoin de l'argent de Bruxelles. Or la tête a été retrouvée près de l'Éros, un bordel pour soldats...
Nicolas Verdan, journaliste suisse, attire notre attention sur une partie de l'Europe souvent mal connue. En enquêtant sur la traite des êtres humains, il a rencontré la police grecque, les agents de Frontex, les migrants et les prostituées. Avec Le Mur grec, l'auteur raconte un homme et son pays, entre passé et présent.
Evangelos s'inscrit dans les pas des policiers humanistes, du Maigret de Simenon au Soneri de Valerio Varesi. Son écriture tout en poésie, précision et ellipse, n'est pas sans évoquer William Faulkner.
« Alka Joshi excelle dans la création de personnages forts. Alors que Lakshmi et Malik découvrent la cause du désastre, leurs loyautés sont mises à l'épreuve dans ce nouveau et éblouissant roman. » - Booklist
Au printemps 1969, Lakshmi, mariée au docteur Jay Kumar, travaille à l'hôpital de Shimla.
Son protégé, Malik, vient de terminer ses études et retourne à Jaipur pour entreprendre un stage au palais. Le dernier projet de la famille royale : construire un cinéma ultramoderne.
Le jeune homme découvre rapidement que peu de choses ont changé dans la Ville rose : le palais royal accorde ses faveurs seulement si certains secrets restent enfouis. Lorsque le balcon du cinéma s'effondre tragiquement lors de la soirée d'inauguration, on trouve bien trop vite les coupables. Malik soupçonne quelque chose de bien plus sombre et entreprend de découvrir la vérité.
Mais ce n'est que lorsque Lakshmi, la véritable gardienne des secrets de Jaipur, revient que celle-ci peut éclater au grand jour.
« Le style coloré d'Alka Joshi donne une voix à ceux qui sont trop souvent réduits au silence, tout en racontant une histoire captivante et puissante. » - Pam Jenoff
« Alka Joshi est maîtresse dans l'art de raconter des histoires. J'ai été complètement hypnotisée par Le Secret de Jaipur et je n'ai pas pu le reposer ! C'est une histoire d'amour, de famille, d'argent et de pouvoir, racontée avec tant d'élégance, de beauté et de suspense... Ce roman a touché mon coeur et il restera avec moi pendant longtemps. » - Christy Lefteri
« Avec ses personnages magnifiquement complexes, Le Secret de Jaipur replonge les lecteurs dans le monde somptueux de La Tatoueuse de Jaipur, où le pouvoir, l'argent et les secrets abondent - et où les réputations protégées avec soin sont constamment remises en question. » - Bryn Turnbull
Les grands noms de la littérature brisent le tabou de la santé mentale
Tous concernés !De près ou de loin, nous sommes tous concernés par la santé mentale.Pourtant, on n'en parle pas, ou si peu. Est-ce la honte de la mise à nu ? La crainte d'être jugés ? La peur du rejet ?Bipolarité, dépression, anxiété, addictions, schizophrénies... Bien souvent invisibles, les maladies psychiques recouvrent des réalités variées. Mais elles ont un point commun : discriminantes et méconnues, elles finissent par couper du monde.
Si taboues, mal-aimées soient-elles, elles doivent sortir de l'ombre. Plus elles seront visibles, plus elles auront de chances d'être comprises, prisesen charge, accompagnées.
Dix auteurs se mobilisent pour faire de la santé mentale leur muse idéale le temps d'une nouvelle. Avec un thème qui les relie : Invisible. À propos de l'auteur
GRINGE est le parrain et préfacier de cette première édition. Rappeur, acteur, auteur, en 2020 il a ému la France entière avec son premier livre : Ensemble,
on aboie en silence.
Quel rapport y a-t-il entre l'hôpital Sainte-Anne à Paris et les rives du Gange ? Entre ces lieux emblématiques, s'articule le chemin initiatique de Marie de la Tour.
L'autrice nous raconte son adolescence chaotique qui se heurte à la violence des institutions psychiatriques et, en parallèle, ce qui va finalement la sauver, son voyage au coeur sacré de l'Inde.
Les expériences les plus contrastées se succèdent. La jeune fille issue des beaux quartiers parisiens navigue entre les abysses de la dépression, le Dalaï-Lama, les médecins et une jeune sainte indienne.
Cependant, ce périple demeure avant tout un poignant voyage intérieur. Marie de la Tour décrit avec une précision chirurgicale les émotions qui la traversent, et ose écrire les pensées que l'on tait d'ordinaire. On rit, on pleure et l'on s'attache à cette jeune femme venue nous dire que nous sommes les maîtres de notre esprit et qu'il existe des méthodes permettant d'en reprendre la souveraineté perdue. Nous rappeler que, toujours, la guérison reste possible.
L'autrice
Marie de la Tour est artiste, chanteuse et guérisseuse. Elle vit dans le Finistère avec son mari et leurs deux enfants. Elle transmet son amour de la musique à travers des performances diverses, des soins sonores et des cours de chant.
Après une rupture aussi douloureuse qu'inattendue, Chloé trouve refuge à Vallenot, le village de son enfance, pour les fêtes de fin d'année.
L'occasion pour elle de souffler et de profiter d'un peu de tranquillité ? Pas si sûr ! Il lui faudra composer avec sa soeur jumelle Albane qui, après un burn-out, vient de se séparer de son mari, l'arrivée de Théo, qui ressemble en tous points à l'homme idéal, et Matthew, qu'elle ne parvient pas à se sortir du coeur...
Entre les disparitions mystérieuses de nains de jardin et les concours de pulls moches, le Noël de Chloé s'annonce bien mouvementé !
Clarisse Sabard est née en 1984 dans une petite ville située en plein coeur du Berry. Après un bac littéraire, elle s'oriente vers le commerce. Lorsqu'un AVC la rattrape, elle décide de réaliser enfin son rêve : écrire. Passionnée de littérature et de voyages, elle se consacre à l'écriture. Son premier roman, Les Lettres de Rose, a reçu le Prix du Livre Romantique 2016. Elle a depuis écrit neuf romans, tous publiés aux éditions Charleston.
Florence, début des années 1940.
Dans la belle villa aux dalles roses des Rosselli, Angelo Bianco, bien qu'orphelin, a grandi comme un membre à part entière de la famille. Eva, la fille de la maison, de deux ans sa cadette, lui jouait du violon, dansait pour lui et pataugeait dans la fontaine pour l'amuser. Inséparables, ils se disputaient pour des broutilles et s'avouaient leurs secrets les plus profonds. Et pourtant, elle ne lui a jamais pardonné de l'avoir abandonnée pour entrer dans les ordres.
Mais quand les nazis arrivent en Italie, les querelles du passé n'ont plus d'importance. En tant que juive, Eva risque la déportation et Angelo est le seul à pouvoir la sauver.
Engagé dans les réseaux de résistance catholiques, il cache et exfiltre les réfugiés des pays occupés.
Il est prêt à tout sacrifier pour elle, mais face aux heures sombres qui s'annoncent, cela sera-t-il suffisant ?
Dès sa plus tendre enfance, Amy Harmon a su qu'elle voulait écrire, partageant ainsi son temps entre l'écriture de ses chansons et celle de ses histoires. Elle est l'autrice de plusieurs romans figurant au palmarès des meilleures ventes du USA Today, du New York Times et du Wall Street Journal, dont Nos faces cachées qui a bouleversé de très nombreux lecteurs de tous âges. Ce que murmure le vent, déjà vendu à plus d'un million d'exemplaires et en cours de traduction en plus de 20 langues, est un véritable best-seller en France et à l'étranger.
Chroniques d'une enfance bohème et douloureuse entre une fille et sa mère, diva internationale
Dans le Boeing pour Baltimore, alors que c'est la nuit, il y a Brigitte, la pianiste, et Léonore, six ans. L'enfant manque l'école, comme souvent, pour suivre sa mère dans ses concerts.
Elle sait qu'elle est la fille d'une artiste bordélique, une mère indigne, aux yeux des éducateurs.
Elle sait qu'elle doit lutter de toute sa petite énergie pour survivre à l'anxiété de son génie de mère.
Elle sait que Brigitte est une diva autoritaire autant qu'une gamine paumée. Elle sait que sa mère rêve d'un prince russe, un peu paysan, à la Tolstoï, et elle voudrait le lui trouver.
Elle sait que la musicienne et son oreille absolue entendent tout de ses tristesses et de ses peurs, alors elle les explose en mille petits délires qui les font rire.
Elle sait déjà qu'à la mort de sa mère le monde perdra toute grandeur. Fini la musique !
Née à Paris, Léonore Queffélec est comédienne et journaliste. Roulette russe est son premier livre.
Des jeux grandeur-nature, une forêt domaniale, un camp de Roms... et des suicides inexplicables. Quel rapport entre tous ces éléments ?
Léa va devoir faire la lumière sur des faits provoqués par un passé pas si lointain, un passé démoniaque qui a décidé de revenir se venger et qui compte bien s'installer dans le présent.
Allen Ginsberg a trente ans à peine lorsque paraît Howl, long cri de rage, d'amour, de désir et de détresse. Nous sommes en 1956, dans une Amérique encore corsetée par les valeurs puritaines, et ce texte incendiaire va attirer à son jeune auteur les foudres de la censure et de la justice ; mais il va aussi l'imposer du jour au lendemain comme l'un des plus grands poètes de son temps. Par sa puissance incantatoire, sa charge politique, son lyrisme jazz et son audace formelle, Howl donne le coup d'envoi d'une véritable révolution littéraire qui va accompagner les grands bouleversements des années 1960.
Près de sept décennies plus tard, ce poème halluciné n'a rien perdu de sa force, bien au contraire, et cette nouvelle traduction française en fait entendre à merveille tous les accords convulsifs, la beauté mêlée à la fange, l'amour à la violence, le sublime au chaos. Hymne de toute une génération, Howl s'inscrit ainsi définitivement dans l'histoire de la littérature comme une oeuvre intemporelle, dont la lecture est à chaque fois un choc et une redécouverte éblouissante.
« Longtemps nous nous sommes regardés, comme on s'est regardés toi et moi, parfois à la dérobée, parfois franchement, directement.
Puis on s'est éloignés, comme nous nous sommes éloignés, sans nous retourner, entre attachement et arrachement, nous qui nous sommes aimés, toi dans l'instinct, dans l'instant, moi dans mes pensées, sans cet amour, en liberté. »
Après avoir travaillé pendant plusieurs années comme scénariste pour le cinéma et la télévision, Jean-Luc Nivaggioni décide, en 2007, de quitter la vie parisienne, pour vivre entre Berlin et São Paulo.
De cette expérience, il a tiré une série de textes sur la fin de l'amour, entre vertige et enthousiasme, comme autant d'épiphanies de l'hédonisme et de la liberté.
À travers La reine à la rose rouge, Philippa Gregory fait revivre l'histoire de Margaret Beaufort, un personnage sombre et mystérieux dans La reine à la rose blanche mais qui occupe désormais le devant de la scène dans la lutte acharnée de la guerre des Deux-Roses.
Veuve très jeune, Margaret Beaufort se marie en secondes noces avec Edmond Tudor. Elle utilise sa détermination et ses intrigues astucieuses pour s'infiltrer dans la maison des York sous l'apparence d'une amie et d'une servante loyale, afin d'anéantir les soutiens de Richard III. Ainsi, elle s'assure la couronne d'Angleterre pour son fils unique, Henri Tudor.
Grâce à sa collaboration avec la reine douairière Élisabeth Woodville, Margaret convient de fiançailles entre Henri et la fille d'Élisabeth. Elles unissent alors les deux familles et mettent un terme une fois pour toutes à l'une des guerres les plus cruelles du royaume en fondant la célèbre dynastie des Tudors.
Deux maisons qui s'entredéchirent. Le trône d'Angleterre est en jeu. La sanglante guerre des Deux-Roses a commencé. Philippa Gregory, autrice d'innombrables best-sellers, fait revivre les Plantagenêts à travers l'histoire oubliée de femmes indomptables.
« Philippa Gregory a popularisé l'histoire des Tudors peut-être plus que n'importe quel autre auteur de fiction... Tous ses livres mettent en scène des femmes fortes et complexes, qui font leur possible pour améliorer leur vie dans des mondes dominés par les hommes. » - Sunday Times
« Passionnant ! » - Sunday Express
« La fiction historique populaire dans ce qu'elle a de meilleur, avec des recherches immaculées et une narration superbe. » - The Times
« La reine du roman historique ! » - Mail on Sunday
« Méticuleusement documenté et profondément divertissant, cette histoire de trahison et de loyauté divisée est un des meilleurs romans de Philippa Gregory. » - Good Housekeeping